Dans une année marquée plus par le projet plurimédia Shadows of the Empire que par ses sorties de figurines POTF2, sort, en 1996, le Tusken Raider !
Soyons honnêtes ce perso (qui faisait partie de 12 premières figurines vintage en 1978) a toujours été l’un de mes préférés. Son design très recherché, les pointes qui apparaissent sous les bandelettes et le fait qu’il doit peut-être bien s’agir de la première (ou la troisième la chronologie est peu claire plus de 30 ans après) figurine Star Wars que j’ai jamais possédée tout cela contribue à rendre spécial cet homme des sables (Sandpeople). Alors quand Hasbro/Kenner décide de sortir la version POTF2, j’étais à la fois inquiet (je n’aimais pas le design général des figurines de cette période) et enthousiaste.
Sculpture : du POTF2 dans sa plus grande splendeur
Bon d’accord on a quitté l’aspect bodybuildé des premières figurines et qui aurait propulsé notre homme des sables directement dans la catégorie “Worst of“, mais la fig n’est pas pour autant exempte de défauts. Le fait de lui donner un manteau sculpté à part (mais pas vraiment amovible à moins de lui retirer la tête) est une bonne idée, mais elle a aussi des inconvénients notamment du fait de l’épaisseur du plastique utilisé : le Tusken n’a pas de cou. A noter que sous le manteau/robe, la fig est en version momie intégrale avec des bandelettes partout.
Autre point noir : le poing droit est fermé. Pas moyen d’y glisser une arme (cf ci-dessous la rubrique accessoires)
Articulation : un effet vintage immédiat
Et ce n’est pas une bonne chose, LOL ! Voilà, que du pivot aux hanches et aux épaules en plus de la tête, mais que pouvait-on espérer en 1996 ?
Peinture : Le point fort de la figurine ?
Avec de jolies nuances très proches du personnage dans le film, on tient peut-être le point fort de cette figurine.
Accessoires : on ne peut pas faire plus simple
Bon ben juste un Gaderffii on ne peut pas dire que Kenner/Hasbro se soit cassé la tête. Dommage qu’ils n’aient pas songé à adapter le design de la fig pour qu’elle puisse porter son arme comme la version vintage pouvait le faire.