Previous Article Next Article Jemini dépose le bilan : coup dur pour les lapins crétins, Hello Kitty et Barbapapa
Posted in Autres jouets Industrie du jouet News

Jemini dépose le bilan : coup dur pour les lapins crétins, Hello Kitty et Barbapapa

Éclairagiste chez FulguroPop. La quarantaine rugissante. Collectionneur Star Wars, Marvel...
Jemini dépose le bilan : coup dur pour les lapins crétins, Hello Kitty et Barbapapa Posted on 24 décembre 2012Leave a comment
Éclairagiste chez FulguroPop. La quarantaine rugissante. Collectionneur Star Wars, Marvel...

A lire la presse, on pourrait presque croire que ce sont les licences qui ont disparu (lemonde.fr titre par exemple Les Lapins Crétins, Hello Kitty et Barbapapa déposent le bilan), mais en fait il s’agit du fabricant de peluches Jemini.

Voici l’histoire vue par le journal Le Monde :

« Le groupe Jemini, concepteur de peluches et de figurines implanté à Ecommoy, dans la Sarthe, est en situation de cessation de paiements et a décidé de déposer le bilan jeudi devant le tribunal de commerce de Paris, selon une information révélée lundi 24 décembre par France Bleu Maine.

Spécialiste des produits sous licence pour enfants, tels que Hello Kitty, les Lapins Crétins, Maya l’abeille, Spiderman, Tintin, Barbapapa ou encore Les Schtroumpfs, le groupe Jemini était entré en Bourse en février 2011. Fin octobre, Patrick Abessira, président et membre du directoire du groupe, avait annoncé sa démission à la suite de pertes enregistrées en 2012. La cotation en bourse avait alors été suspendue.

60 PERSONNES CONCERNÉES

« A l’instar des entreprises de son secteur, les ventes de Groupe Jemini sont notablement affectées par la crise qui n’épargne plus le secteur des produits pour enfants », indiquait le groupe dans un communiqué fin octobre.

Le communiqué précisait que par conséquent, le groupe devait annoncer un chiffre d’affaires en baisse de 19 % pour le premier semestre 2012 à 11,1 millions d’euros.

Selon France Bleu Maine, les quelque 60 personnes qui travaillent sur le site sarthois seront fixées sur leur sort lors d’une audience au tribunal de commerce de Paris le 8 janvier. Toujours selon la radio, des concurrents sont déjà intéressés pour reprendre les licences détenues par Jemini. »

 

Il s’agit bien du fabricant et non du propriétaire de toutes ces licences qui demeurent des valeurs sures de l’industrie du jouet et des produits dérivés. Toutefois la rédaction de ToyzMag partage l’inquiétude pour les salariés de l’entreprise alors que le secteur du jouet en Europe et en France peine à faire face à la concurrence internationale.

121224171903674_16_000_apx_470_

Éclairagiste chez FulguroPop. La quarantaine rugissante. Collectionneur Star Wars, Marvel...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.