S’il existe, dans l’adaptation de Peter Jackson du libre le Hobbit, parmi la compagnie de Thorin Oakenshield, deux frères qui marquent les esprits ce sont bien Dwalin et Balin.
Balin et Dwalin : deux nains qui se distinguent
D’abord parce que physiquement, ils se démarquent des autres nains et qu’ils sont les premiers à franchir la porte de Bilbo. Ensuite parce que l’un deux connaîtra une postérité plus grande. Balin est en effet mentionné dans Le Seigneur des Anneaux (dans le premier volume : La Communauté de l’Anneau) comme le nain qui reconquit la Moria avant de succomber, pour la plus grande peine de son cousin Gimli, aux mains des gobelins et des trolls dans cette cité souterraine abritant un Balrog.
Sculpture : l’excellence selon The Bridge Direct
Le design des costume autant que les traits des personnages sont extrêmement réussis et réalistes.
Articulation : une légère déception
On regrette vraiment que les chevilles des figurines The Hobbit ne bénéficient pas d’une articulation au niveau des chevilles car le reste est parfait.
Peinture : presque l’excellence
Si les tatouages de Dwalin auraient mérité de bénéficier de plus de contraste, on peut dire que le reste des deux figurines est parfait : textures, effets de reliefs, cheveux, tout est travaillé en finesse.
Accessoires : Balin à la peine
Si Dwalin est doté des meilleures armes (marteau de guerre, deux haches décorées de runes et qui se logent dans son dos, couteau et fourreau amovible…), Balin n’a pas cette chance, le budget du pack ayant dû être capté par son frère, il ne bénéficie que d’un poignard et d’une curieuse épée qui a toutefois le mérite d’être sensiblement fidèle à l’accessoire utilisé dans le film. Un regret cependant, aucun fourreau ne permet de la garder au repos.